N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.
Quand j'étais gosse, haut comme trois pommes Je parlais bien fort pour être un homme Je disais : je sais, je sais, je sais, je sais
C'était le début, c'était le printemps Mais quand j'ai eu mes dix-huit ans J'ai dit : je sais, ça y est, cette fois, je sais
Et aujourd'hui, les jours où je me retourne Je regarde la Terre où j'ai quand même fait les cent pas Et je ne sais toujours pas comment elle tourne !
Vers vingt-cinq ans, je savais tout : l'amour, les roses, la vie, les sous Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout l'tour !
Mais heureusement, comme les copains, j'avais pas mangé tout mon pain : Au milieu de ma vie, j'ai encore appris. Ce que j'ai appris, ça tient en trois, quatre mots :
Le jour où quelqu'un vous aime, il fait très beau Je peux pas mieux dire : il fait très beau !
C'est encore ce qui m'étonne dans la vie Moi qui suis à l'automne de ma vie On oublie tant de soirs de tristesse Mais jamais un matin de tendresse !
Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire "je sais" Seulement, plus je cherchais, et puis moins je savais
Il y a soixante coups qui ont sonné à l'horloge Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge :
Maintenant je sais, je sais qu'on ne sait jamais !
La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses C'est tout ce que je sais ! Mais ça, je le sais !
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.
La banlieue est le poumon de Paris. Si chaque matin, des milliers de travailleurs quittent la banlieue pour aller vers la capitale, il existe une fraction de la population banlieusarde qui refuse ce schéma. Pierre Céphas est un de ceux-là. Il travaille en usine, traîne au pied de son immeuble, s'entraîne au club de boxe du quartier.
Quotidiennement, il est confronté aux zèle des forces de l'ordre, à la rudesse du monde du travail et à l'omniprésence des petits chefs. Pour oublier cet univers aussi violent que dangereux, il se ressource au sein de sa famille et au contact de quelques amis. Personnage réaliste, il est tout à fait conscient de sa condition sociale. "État des lieux" est une chronique sociale, parfois drôle, parfois acide ou cynique, qui conte les joies et les déboires d'un citoyen de France.
Le discours du film est clairement marxiste. Il appelle le prolétariat à l'insurrection, à travers le discours de plusieurs personnages, dont le principal, mais encore par le vidéo clip du rappeur Base Enemy, qui constitue l'une des séquences du film.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.